Ceci est le suicide de ma crédibilité.

Alors te voilà encore enfermé dans un truc bizarre
Tu lâches la grande voile, Ta solitude largue les amarres
Mais penses-tu à toi, oublies tu le moi
Enfermez dans ce que tu es, tu te remplis d’émois

As-tu déjà pensé à faire cesser ce tintamarre
Dans ta tète résonne une bien piètre fanfare
Alors écoute toi, écoute moi
Crier ne sert à rien, je crois

Alors ce que tu veux, tu ne l’auras pas
Ta lâcheté je la sens à bien des égards
On t’a encore retrouvé saoul sous mon regard
Regarde donc en bas, je n’y suis pas

Et ainsi tu le sais, Et ainsi tu le sens
Tout cela t’échappe, ton toi se décentre
Et ainsi tu le sais, Et ainsi me méprends
Noyé dans ton désarroi, enfermé dans ton antre.

Ai-je déjà essayé de faire cesser ce tintamarre
Dans ma tête résonne une bien triste fanfare
Alors parle toi, parle moi
Se taire ne sert à rien, je crois.

j'écris comme je me masturbe, vite et mal. La preuve

c'est assez sympas je trouve,
MODE MECHES BLONDES [ON]
malgrès que j'ai du mal à en comprendre le sens exact ...
MODE MECHES BLONDES [OFF]

Bravo en tout cas !

Tath Ssiian a écrit:

Te voilà , lâches , oublies tu de faire cesser ce tintamarre
Alors écoute , écoute moi
Ta lâcheté je la sens à bien des égards
saoul, sous mon regard, tu le sens ?
Alors parle toi, parle moi., je crois.

j'écris comme je me masturbe, vite et mal. La preuve

Moi j'aime quand les personnes créent, après on aime ou pas.
L'important c'est de créer.

C'est justinien, je kiffe !

J'avais jamais lu vos réponses Oo

je vous en mets un autre

Puisque rien ne tourne rond dans ce monde désabusé
Laisse moi me gacher, c'est encore mieux que de te parler

Alors tu refuses à mes lèvres t'embraser tes beaux seins
et encore plus, de laisser tes levres embarrasser par mes mains
La Poesie n'existe plus, elle est morte avec Morrison
L'Amour n'est plus, je ne le vois en personne

Comme avant,
Comme maintenant,
Comme deux amants dansant ivres en chancellant.

Enfin surement devrais je apprendre à t'aimer
et commencer par arrêter de t'apprécier
peut etre arreteras tu alors de me mépriser
peut être arreteras tu alors de m'ennuyer

Comme avant,
Comme maintenant,
Comme deux amants dansant ivres en chancellant.

Mais celà importe peu car de toutes façons
J'ai oublié ton nom,
J'ai oublié ton non,
J'ai oublié mon nom,
Entre une prune et une brune.

Et Cetera.

Mister T a écrit:c'est assez sympas je trouve,
MODE MECHES BLONDES [ON]
malgrès que j'ai du mal à en comprendre le sens exact ...
MODE MECHES BLONDES [OFF]

Bravo en tout cas !

ça parle de quelqu'un, qui s'isole par lacheté et qui oublie parfois de simplement être heureux.

Ainsi, plonger dans sa confortable solitude, on ne peut que perdre pied et au final, se taire tout simplement parce qu'on a personne à qui parler et qu'on ne peut parler à personne car trop concentrer sur soi même on en oublie d'écouter les autres...

Kwyx a bien résumé mon texte avec son montages de 5 phrases presque explicites ^^

Merci pour vos commentaires en touts cas.

Oui Erick, je ne peux contredire l'influence justinienne sur ma façon d'écrire et d'être, vu que c'est le groupe que j'écoute le plus :S

ptain je me souviens qu'à l'époque je trouvais bof le truc que j'ai mis ici, mais quand je le relis, je le kiffe aussi Oo

C'est Justinien, je kiffe !


On a tous nos influences.

Vivement que tu te mette sous influence de Hal David !








(c'est le parolier de Burt )

Je maitrise pas assez l'anglais ^^

Tath Ssiian a écrit:Je maitrise pas assez l'anglais ^^

hum; hum





il y a plein de traduction.....





Sinon, ca parle d'amour, d'amour..............et des fois dessus.

Ouais, mais faut le talent pour faire du Burt...

C'est quand même un monstre sacré de la musique contemporaine !

Perdu dans l'espace et le temps
je vous toise du regard méprissant
des justes, des aveugles et de leur reves innocents

Ronger par les remords et le stress
je m'immole dans la fureur et la liesse
Par peur de la deception et du lendemain
j'ai oublié leurs noms et le mien

Et doucement, je cherche, ma quintessence
car l'essence de la substance mène à l'existence
mais où sont donc les sages et leur sale science.

j'ai du le louper, j'ai du l'ignorer
plonger dans le doute, je n'ai su savourer
tout ce qu'elles ont pu être n'était qu'une chimere
qui sublimement m'ont poussé à disparaitre

Pour finalement ne plus être mais avoir
l'ivresse d'une nuit que je n'ai pu boire
un rayon de soleil m'a empéché de le voir.

Et j'irais me jeter dans les rochers
quand dans la solitude, je me serais noyé
Tant de liquides submergent mes idées
Je n'aurai plus d'ame, plus de pensées

J'ai plein de fichier "nouveau texte(N)" où N est un chiffre, c'est des trucs que j'écris quand je suis saoul ... je devrais plus souvent être saoul.

Fin parfois y a des trucs vraiment trop chelou

c'est fait exprès les 's' qui deviennent 'ss'?

Vous me faites chier avec ça !

J'ai un probleme avec les S et les SS

On a vu



Mais vas-y abreuve-nous/moi de tes nouveaux texte N !

J'en ai d'autres, mais faut que je les mette en ordre

C'est un bordel..

Puis y a le cahier petit format seyes 96 pages.. ce truc pu le mec bourré faudrait que j'extraie les quelques trucs potables et lisibles ^^

Ce qui pu la defaite ne mérite pas d'être vu

Au contraire. Je pourrais te citer des mec comme Henry Charles Bukowski et tout les autres soulards maudits mais ce serait te flatter

Et tu connais mon extrême sensibilité à la flatterie

Je verrais, mais des trucs trop directs, trop crus, j'ai pas envie de les mettre, je trouve ça nul. ça n’exprime plus un sentiment, mais une sensiblerie.

Mais c'est cool que mon envie d'écrire soi revenu (les vieux textes de bourré dates de mars ^^ )

Merci de les lire en tout cas.

Ce qui est drole c'est que la plupart du temps je les écris comme des chanson, sauf le dernier ^^

Nkiller a écrit:c'est fait exprès les 's' qui deviennent 'ss'?

note qu'ici "Alors tu refuses à mes lèvres t'embraser tes beaux seins"

C'était fait exprès, c'était du génie

Hank tu te string-ises, stop le melon oO

String a écrit:Hank tu te string-ises, stop le melon oO

Ahah

plus qu'un mois et ça recommence :S

Mouhahahaha !

Moi aussi j'aimerais bien réécrire !

De nos fantasmes embrasés par leurs cascades endiablées
De leurs rêves enivrés, de ses suppliques énervées
Par les raisons voilées de notre dérive assassinée

Nous courons sous pression
Dans l'immonde d'une tension
Jamais soumis à cette tentation
Car j'aurais voulu n'est plus
J'exige l'a remplacé au nom d'un moi inconnu

De nos fantasmes embrasés par leurs cascades endiablées
De leurs rêves enivrés, de ses suppliques énervées
Par les raisons voilées de notre dérive assasinée

Je n'en tire rien d'autres
Qu'un gout amer du notre
Nous nous tirons là où se vautre
Ce rythme peté d'une histoire
Jamais racontée, toujours dérisoir

De nos fantasmes embrasés par leurs cascades endiablées
De leurs rêves enivrés, de ses suppliques énervées
Par les raisons voilées de notre dérive assassinée

Alors éculons nous dans cette réalité fausse
Alors enterrons nous dans cette pitoyable fosse
D'un sens malmené par une dépravation en hausse
Jamais plus je n'irai, jamais je ne verrai
Cette douce illusion qui jamais n’apparaît


Mouais.

J'aurais voulu n'est plus, enfin je pense, si j'ai bien compris le sens de ta phrase

Z'aime bien, je veux et j'exige et je sais exiger!